C‘ est en 1993 que Nintendo décide de s’associer avec Sony pour créer un lecteur de CD-rom pour rivaliser avec les consoles de nouvelles génération disposant, elles de CD-Rom.
Mais le projet fut abandonné et Nintendo s’associa avec Silicon Graphics pour créer sa nouvelle machine, dont le nom de prototype fut Ultra 64, une machine 3D dont les capacités 3D sont hors du commun.

C‘ est en 1993 que Nintendo décide de s’associer avec Sony pour créer un lecteur de CD-rom pour rivaliser avec les consoles de nouvelles génération disposant, elles de CD-Rom.
Mais le projet fut abandonné et Nintendo s’associa avec Silicon Graphics pour créer sa nouvelle machine, dont le nom de prototype fut Ultra 64, une machine 3D dont les capacités 3D sont hors du commun.

Index :

• 1 - Introduction, création du projet
• 2 - Les jeux
• 3 - Spécifications techniques


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1 - Introduction, création du projet :

C ‘est en 1993 que Nintendo décide de s’associer avec Sony pour créer un lecteur de CD-rom pour rivaliser avec les consoles de nouvelles génération disposant, elles de CD-Rom.
Mais le projet fut abandonné et Nintendo s’associa avec Silicon Graphics pour créer sa nouvelle machine, dont le nom de prototype fut Ultra 64, une machine 3D dont les capacités 3D sont hors du commun.

Pour prouver la supériorité de son nouveau système, Nintendo décide de le décliner en une version d’arcade, le tout au format Jamma, en tout point identique à la future version de salon de la console, et le premier jeu à en bénéficier fut le jeu Killer Instinct.

Le succès fut immédiat et ceci fit que Nintendo accéléra le développement de sa nouvelle 64 Bits, mais il fut rapidement découvert qu’il y avait une supercherie, la borne d’arcade disposait d’un disque dur que la console n’aurait pas et qui boostait grandement les performances de la machine.


2 - Les jeux :

Cette machine ne fut développé que dans un but de faire vendre la console de salon, et seuls deux jeux furent programmés pour cette plate-forme :


• Killer Instinct (1995)


• Killer Instinct 2 (1996)


Ces deux jeux de combats sont tous les deux à conseiller vivement sur cette machine, car il sont biens supérieurs au autres versions sorties de l’époque, et ce sur tout points, mais aussi très bien émulés sur Ultra64emu, c'est une borne d'arcade à ne pas manquer si vous aimez les jeux de combats !


3 - Spécifications techniques :


• Processeur : MIPS 64 bits RISC CPU (série R4000 personnalisée) cadencé à 93,75 MHz. Le R4000 supporte toutes les opérations 64 bits et également 32 bits, il ne possède qu'un seul pipeline (l'ALU et la FPU se le partagent) mais son efficacité est proche d'une instruction par cycle. Le R4000 possède 8 KB de cache de données et 16 KB de cache d'instructions (8 KB pour le R400 original)


• mémoire : 4 MB RAMBUS DRAM cadencée à 250 MHz


• bande passante / bus mémoire : 562,5 Mo/s


• co-processeur : RCP, cadencé à 62,5 MHz. C'est le composant le plus important, toutes les données transitent par le RCP (qui sert également de contrôleur mémoire au CPU).Il intègre 2 microprocesseurs, le RSP et le RDP. Le RSP pour le son et les graphismes (opérations matricielles, transformations géométriques et éclairage, rasterization des polygones), il gère également le back-face culling et le volume culling. Le RDP pour le rendu de la liste d'affichage créée par le RSP. Il possède une unité de texture (fillrate théorique de 62 MTexel/s), avec filtrages (tri linéaire et antialiasing) et gestion du z-buffer


• résolutions : 256 × 224, 640 × 480 entrelacée


• polygones/sec : 150 000


• couleurs : 32 bits RGBA avec système de lissage. Sortie vidéo : 21 bits


• son : stéréo en 16 bits


• cartouches : de 4 Mo à 64 Mo.


• Disque dur pour le stockage des jeux
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